Les mouvements immobiles du changement nous dissimulent le paysage tandis qu’il nous quitte. Nous sommes, ainsi, surprises d’être restées les mêmes parmi tant de mouvances qu’il nous semblait traverser.
« Je voudrais dire, dire, dire tout ce que je sais, tout ce que je pense, tout ce que je devine, tout ce qui m’enchante et me blesse et m’étonne ; mais il y a toujours, vers l’aube de cette nuit sonore, une sage main fraîche qui se pose sur ma bouche… »
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